International

10 idées reçues sur la mobilité ! 

VRAI ou FAUX ? Viens découvrir toute la réalité sur la mobilité internationale.

01

« On ne peut partir qu’un an ! » 

FAUX ! Avec ERASMUS +, on peut partir une année pour chacun des cycles d’études (Licence, Master, Doctorat), soit un maximum 36 mois. Sur une année universitaire, il n’est pas obligatoire de partir 2 semestres d’affilés: il est possible de partir étudier 3 mois, 6 mois ou encore 2 semestres.

02

« Partir en mobilité, c’est réservé à ceux qui ont les moyens »

FAUX ! Il existe de nombreuses bourses allouées aux étudiants qui partent étudier à l’étranger : la bourse sur critère sociaux du CROUS, l’Aide à la Mobilité Internationale (AMI, même pour les non boursiers), la Bourse ERASMUS, des bourses locales (région / département) 

03

« Partir en mobilité à l’étranger, c’est comme une année de vacances ! »

FAUX ! La barrière de la langue, le changement de système d’enseignement et les examens à valider ne font pas oublier la réalité des choses. Mais n’enlevons pas pour autant, la richesse de cette expérience : c’est aussi l’occasion de profiter d’y être, et de découvrir une nouvelle culture.

Un homme et une femme devant une map-monde

04

« J’aurais du mal à valoriser mon séjour à l’étranger ! »

FAUX ! Grâce à la validation par équivalence d’ECTS, votre année à l’étranger est validée au même titre qu’une personne restée en France. Une expérience à l’étranger est également un plus dans un CV : capacité d’adaptation et maitrise d’une nouvelle langue.

05

« L’intégration se fait facilement ! »

VRAI ! Être un étudiant étranger dans une promo, c’est l’avantage d’être connu par tous les autres lors de la rentrée ! N’oubliez pas qu’il est toujours possible de participer à des évènements et des compétitions sportives universitaires et en club pour apprendre à connaitre les autres étudiants.

06

« Il faut un très bon niveau en langue pour partir ! »

FAUX ! C’est vrai, maîtriser un minimum la langue est un prérequis. Mais, la mobilité se préparant un an à l’avance, il faut saisir cette opportunité pour travailler : cours de langue, lectures et séries. Tous les moyens sont bons et partir à l’étranger est le meilleur moyen pour se perfectionner !

07

« Il existe peu d’échanges possible pour les STAPS »

FAUX et VRAI ! Cela dépend de l’université dans laquelle vous étudiez actuellement, si certaines n’ont que peu d’échanges proposés, d’autres comme l’UFR STAPS de Franche-Comté (Besançon) possèdent plus de 30 universités partenaires. Dans tous les cas, chaque UFR possède au moins une destination possible.

Un étudiants au fonds d'une salle de classe se tenant la tête en regardant un cachier

08

« Les cours sont dur à suivre ! »

FAUX et VRAI ! Il faut effectivement arriver à comprendre les cours dans la langue étrangère. Mais pour la plupart du temps, vous aurez moins de cours à suivre que les étudiants locaux, et les professeurs sont très ouverts pour les étudiants étrangers. N’hésitez pas à vous inscrire à des cours de soutien !

09

« Les démarches pour partir sont compliquées ! »

FAUX et VRAI ! Cela dépend de l’université dans laquelle vous étudiez actuellement, si certaines n’ont que peu d’échanges proposés, d’autres comme l’UFR STAPS de Franche-Comté (Besançon) possèdent plus de 30 universités partenaires. Dans tous les cas, chaque UFR possède au moins une destination possible.

10

« Un ERASMUS vit toujours en collocation »

FAUX, mais pas tant que ça ! Nombreux sont les étudiants qui choisissent de vivre en collocation: c’est un bon compromis, tant niveau budget qu’intégration. Mais il se peut aussi que votre université d’accueil propose des logements étudiants (type logements CROUS).