Riche de 4 éditions au Rwanda et de 2 au Kosovo, l’Anestaps souhaite étendre son champ d’action à l’international en venant en aide aux populations

Un PSI, pourquoi ?

Bien que le 21ᵉ siècle ait été accompagné de nouvelles technologies et de connaissances scientifiques, il n’a malheureusement pas été synonyme de révolution sociale et sociétale. En effet, inégalités (pauvreté), discriminations (racisme) et exclusions sociales (handicap) sont devenues des choses courantes au sein de notre société. Aujourd’hui en France, 9,3 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, avec moins de 1000€ / mois (jobsense.fr). C’est à partir de ce constat, que l’ANESTAPS et son réseau se mobilisent pour agir et changer les mœurs collectives.

Un PSI, comment ?

À travers ce projet, l’ANESTAPS et son réseau utilisent comme outil principal le sport. Ce dernier est vecteur d’inclusion sociale et d’éducation pour faciliter la mixité interculturelle. Prouvé scientifiquement, le sport est également un outil préventif et thérapeutique. Ainsi, les compétences développées au sein des différentes formations STAPS sont complémentaires et permettent de répondre aux besoins des populations locales. À cela s’ajoute, la formation et l’éducation par les paires : 2 outils essentiels pour déconstruire les stéréotypes et transmettre des valeurs. En parallèle de cela, le projet prend également appuie sur l’expertise de plusieurs partenaires (play international). Ce double maillage permet d’apporter des réponses adaptées aux demandes des populations.

Un PSI, quelles actions ?

Les PSI visent les causes à temporalités longues (éducations) et non-celles d’une situation ponctuelle (guerre) qui relève de l’humanitaire. Ils peuvent prendre la forme de :

  • rénovation d’infrastructures et dons de matériels,
  • mise en place d’activités physiques et sportives,
  • sensibilisation à la mixité au sport santé, à la différence,
  • échanges et partage avec les populations et associations locales.

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